Clairement, le bouche-à-oreille, ça reste un pilier, sauf que c'est vrai que sans un premier contact, c'est la galère. D'ailleurs, en parlant de contact, je me demande si les assurances pourraient pas avoir des listes de partenaires fiables, vu qu'elles sont souvent au cœur des sinistres et des réparations.
Sinon, pour revenir au sujet, je pense que cibler des artisans qui bossent sur des projets similaires aux vôtres, ça peut être une approche intéressante. Vous regardez qui fait quoi sur des chantiers qui vous plaisent, et vous les contactez directement.
Merci pour ces pistes !
L'idée des assurances, je n'y avais pas pensé, c'est un angle intéressant. 🤔
Et l'approche "chantierssimilaires", c'est du bon sens, mais il fallait y penser. 👍
Merci encore ! 🙏
Carrément, je vous dirai ce que ça donne. L'idée, c'est de pas se contenter de regarder le résultat fini, mais aussi de voir comment ils gèrent le chantier au quotidien, le respect des délais, la propreté... Ça peut donner de bons indices sur leur sérieux.
C'est une excellente idée de regarder comment ils gèrent le chantier au quotidien. Ça me rappelle une fois où j'avais engagé un sous-traitant pour des travaux chez moi, et j'ai vite déchanté en voyant le bazar qu'il laissait traîner. Bref... Pour en revenir à ta recherche, est-ce que tu as déjà regardé du côté des groupements d'artisans ? Ils ont souvent des chartes de qualité et peuvent être plus facilement identifiables.
Groupements d'artisans, bonne idée... Mais est-ce que les chartes de qualité sont vraiment un gage de sérieux, ou juste du marketing ? 🤔 J'ai toujours un doute là-dessus. On a vite fait de coller un label sans que ça change grand chose au fond. Ceci dit, ça vaut ptet le coup de creuser... 🧐
Certes, les chartes de qualité peuvent parfois faire sourire, mais ça peut aussi servir de premier filtre. Un artisan qui prend la peine d'adhérer à un groupement montre au moins une certaine volonté de se structurer, non ? Après, faut vérifier si les engagements sont tenus, évidemment.
Oui, c'est clair qu'il faut pas se contenter du label. Mais je pense aussi qu'on peut pousser la logique des groupements un cran plus loin : certaines chambres de commerce mettent en place des "labelsd'excellence" locaux, qui sont souvent plus sélectifs et impliquent un audit régulier. C'est peut-être une piste à explorer pour avoir un niveau de confiance un peu plus élevé.
Dans la même veine que EchoShift69, regarde aussi du coté des qualifications type Qualibat, surtout celles avec la mention RGE (Reconnu Garant de l'Environnement) si tu as des critères de performance énergétique. C'est pas une garantie absolue, mais ça peut t'assurer un certain niveau de compétences et d'engagement sur des aspects techniques spécifiques.
Yep, Qualibat RGE, c'est un bon point de départ... Mais faut pas hésiter à aller vérifier les références directement. Demande des photos de chantiers récents, contacte d'anciens clients... Le label, c'est bien, mais le concret, c'est mieux ! 😉 Et si tu peux, passe sur un chantier en cours pour voir comment ils bossent, c'est encore le top. 👷♂️
Mouais, l'enquête à la Colombo, c'est top en théorie, mais faut avoir le temps. 😅 Entre les photos retouchées et les clients copains-copains, on est jamais vraiment sûr de rien. Un bon audit sur un chantier en cours, ok, mais faut que le chantier soit représentatif de ce qu'on recherche, et que l'artisan soit ok pour qu'on vienne fouiner. Pas si simple, tout ça... 🤔
Bon, si je résume un peu ce qu'on s'est dit, on a exploré plusieurs pistes pour trouver des sous-traitants compétents. Du bouche-à-oreille (pas toujours facile à activer), l'approche directe via des chantiers similaires, les assurances (idée originale !), les groupements d'artisans et les labels (avec la prudence de vérifier derrière), et enfin les qualifications type Qualibat RGE. Sans oublier l'importance de l'enquête de terrain, même si c'est chronophage.
C'est une bonne synthèse. Je pense qu'on peut affiner certaines pistes. Par exemple, concernant les plateformes de mise en relation, il y a un rapport de l'Observatoire des Marchés du Bâtiment qui montre que seulement 15% des entreprises du BTP les utilisent régulièrement. C'est faible, mais ça veut dire qu'il y a un potentiel inexploité. Le truc, c'est de bien les choisir et de pas se contenter des généralistes. Celles qui sont vraiment spécialisées par corps de métier (électricité, plomberie, etc.) ou par type de travaux (rénovation énergétique, construction bois...) sont souvent plus efficaces.
Et pour compléter l'idée du bouche-à-oreille, l'étude Xerfi "Lasous-traitancedanslebâtiment" (2023) souligne que 60% des entreprises interrogées considèrent que la recommandation est leur principale source de nouveaux sous-traitants. Ça confirme son importance, mais ça met aussi en évidence le défi de l'activer. Peut-être qu'en mettant en place un système de parrainage interne, avec des incentives pour les employés qui recommandent des artisans compétents, ça pourrait aider. Genre, une prime ou un bonus pour chaque nouveau sous-traitant validé et qui a fait du bon boulot sur un chantier.
Autre point, tu as mentionné les réseaux sociaux. C'est un peu la jungle, mais il y a des groupes Facebook ou LinkedIn très actifs où les artisans partagent leurs réalisations et leurs disponibilités. Selon une enquête de la Capeb (Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment), 35% des artisans utilisent les réseaux sociaux pour trouver de nouveaux chantiers ou des partenaires. Donc, ça vaut le coup d'y jeter un œil, même si ça demande pas mal de tri. Un bon community manager qui connaît bien le secteur peut faire des merveilles.
Enfin, pour les annonces dans la presse spécialisée, c'est peut-être un peu old school, mais ça peut encore marcher pour certains profils très spécifiques. Surtout si on cible des publications régionales ou locales. L'important, c'est de bien soigner l'annonce et de mettre en avant ce qui différencie votre entreprise. Bref, un mix de méthodes, quoi.
Commentaires (17)
Les recommandations, c'est souvent une bonne piste, mais faut avoir le bon contact au départ pour que ça marche.
Clairement, le bouche-à-oreille, ça reste un pilier, sauf que c'est vrai que sans un premier contact, c'est la galère. D'ailleurs, en parlant de contact, je me demande si les assurances pourraient pas avoir des listes de partenaires fiables, vu qu'elles sont souvent au cœur des sinistres et des réparations. Sinon, pour revenir au sujet, je pense que cibler des artisans qui bossent sur des projets similaires aux vôtres, ça peut être une approche intéressante. Vous regardez qui fait quoi sur des chantiers qui vous plaisent, et vous les contactez directement.
Merci pour ces pistes ! L'idée des assurances, je n'y avais pas pensé, c'est un angle intéressant. 🤔 Et l'approche "chantierssimilaires", c'est du bon sens, mais il fallait y penser. 👍 Merci encore ! 🙏
Si tu testes l'approche "chantier", tiens-nous au jus des résultats. Je suis preneur de tout retour d'expérience.
Carrément, je vous dirai ce que ça donne. L'idée, c'est de pas se contenter de regarder le résultat fini, mais aussi de voir comment ils gèrent le chantier au quotidien, le respect des délais, la propreté... Ça peut donner de bons indices sur leur sérieux.
C'est une excellente idée de regarder comment ils gèrent le chantier au quotidien. Ça me rappelle une fois où j'avais engagé un sous-traitant pour des travaux chez moi, et j'ai vite déchanté en voyant le bazar qu'il laissait traîner. Bref... Pour en revenir à ta recherche, est-ce que tu as déjà regardé du côté des groupements d'artisans ? Ils ont souvent des chartes de qualité et peuvent être plus facilement identifiables.
Groupements d'artisans, bonne idée... Mais est-ce que les chartes de qualité sont vraiment un gage de sérieux, ou juste du marketing ? 🤔 J'ai toujours un doute là-dessus. On a vite fait de coller un label sans que ça change grand chose au fond. Ceci dit, ça vaut ptet le coup de creuser... 🧐
Certes, les chartes de qualité peuvent parfois faire sourire, mais ça peut aussi servir de premier filtre. Un artisan qui prend la peine d'adhérer à un groupement montre au moins une certaine volonté de se structurer, non ? Après, faut vérifier si les engagements sont tenus, évidemment.
Oui, c'est clair qu'il faut pas se contenter du label. Mais je pense aussi qu'on peut pousser la logique des groupements un cran plus loin : certaines chambres de commerce mettent en place des "labelsd'excellence" locaux, qui sont souvent plus sélectifs et impliquent un audit régulier. C'est peut-être une piste à explorer pour avoir un niveau de confiance un peu plus élevé.
Dans la même veine que EchoShift69, regarde aussi du coté des qualifications type Qualibat, surtout celles avec la mention RGE (Reconnu Garant de l'Environnement) si tu as des critères de performance énergétique. C'est pas une garantie absolue, mais ça peut t'assurer un certain niveau de compétences et d'engagement sur des aspects techniques spécifiques.
Tout à fait.
Parfaitement d'accord.
Yep, Qualibat RGE, c'est un bon point de départ... Mais faut pas hésiter à aller vérifier les références directement. Demande des photos de chantiers récents, contacte d'anciens clients... Le label, c'est bien, mais le concret, c'est mieux ! 😉 Et si tu peux, passe sur un chantier en cours pour voir comment ils bossent, c'est encore le top. 👷♂️
Clair, le terrain c'est l'preuve du feu 🔥. Les photos, les clients... tout bon pour faire son enquête quoi ! 🔍
Mouais, l'enquête à la Colombo, c'est top en théorie, mais faut avoir le temps. 😅 Entre les photos retouchées et les clients copains-copains, on est jamais vraiment sûr de rien. Un bon audit sur un chantier en cours, ok, mais faut que le chantier soit représentatif de ce qu'on recherche, et que l'artisan soit ok pour qu'on vienne fouiner. Pas si simple, tout ça... 🤔
Bon, si je résume un peu ce qu'on s'est dit, on a exploré plusieurs pistes pour trouver des sous-traitants compétents. Du bouche-à-oreille (pas toujours facile à activer), l'approche directe via des chantiers similaires, les assurances (idée originale !), les groupements d'artisans et les labels (avec la prudence de vérifier derrière), et enfin les qualifications type Qualibat RGE. Sans oublier l'importance de l'enquête de terrain, même si c'est chronophage.
C'est une bonne synthèse. Je pense qu'on peut affiner certaines pistes. Par exemple, concernant les plateformes de mise en relation, il y a un rapport de l'Observatoire des Marchés du Bâtiment qui montre que seulement 15% des entreprises du BTP les utilisent régulièrement. C'est faible, mais ça veut dire qu'il y a un potentiel inexploité. Le truc, c'est de bien les choisir et de pas se contenter des généralistes. Celles qui sont vraiment spécialisées par corps de métier (électricité, plomberie, etc.) ou par type de travaux (rénovation énergétique, construction bois...) sont souvent plus efficaces. Et pour compléter l'idée du bouche-à-oreille, l'étude Xerfi "Lasous-traitancedanslebâtiment" (2023) souligne que 60% des entreprises interrogées considèrent que la recommandation est leur principale source de nouveaux sous-traitants. Ça confirme son importance, mais ça met aussi en évidence le défi de l'activer. Peut-être qu'en mettant en place un système de parrainage interne, avec des incentives pour les employés qui recommandent des artisans compétents, ça pourrait aider. Genre, une prime ou un bonus pour chaque nouveau sous-traitant validé et qui a fait du bon boulot sur un chantier. Autre point, tu as mentionné les réseaux sociaux. C'est un peu la jungle, mais il y a des groupes Facebook ou LinkedIn très actifs où les artisans partagent leurs réalisations et leurs disponibilités. Selon une enquête de la Capeb (Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment), 35% des artisans utilisent les réseaux sociaux pour trouver de nouveaux chantiers ou des partenaires. Donc, ça vaut le coup d'y jeter un œil, même si ça demande pas mal de tri. Un bon community manager qui connaît bien le secteur peut faire des merveilles. Enfin, pour les annonces dans la presse spécialisée, c'est peut-être un peu old school, mais ça peut encore marcher pour certains profils très spécifiques. Surtout si on cible des publications régionales ou locales. L'important, c'est de bien soigner l'annonce et de mettre en avant ce qui différencie votre entreprise. Bref, un mix de méthodes, quoi.