Bien dit! Les offres personnalisées, c'est la base, clairement. 😉
Nous, on a vu un super impact en ajoutant un truc tout bête : un petit message manuscrit (enfin, imprimé mais qui y ressemble 😉) dans chaque commande pour les clients fidèles. Ça crée une connexion émotionnelle hyper forte, et ça coûte pas une blinde. Les retours sont excellents ! 👍
le 18 Mars 2025
Carrément, la personnalisation à fond ! Nous, on a testé un truc similaire mais en vidéo. Un petit message vidéo personnalisé envoyé par email pour l'anniversaire du client, ou après un certain nombre de commandes. Ça demande un peu plus de boulot au départ pour la mise en place, mais l'effet "waouh" est garanti ! Les gens partagent ça sur leurs réseaux, et du coup, ça fait de la pub en plus.
L'idée de CyberAigle est pertinente : la vidéo, c'est un pari risqué. Si c'est mal fait, ça peut flinguer l'image de marque plus vite qu'un bad buzz sur Twitter. Faut vraiment soigner la production, le message, tout. Et là, on touche un point essentiel : la personnalisation, c'est pas juste mettre le nom du client en gros sur un email. C'est comprendre ses besoins, ses attentes, son parcours.
Si on creuse un peu, le "marketingdefidélisation" (si on veut employer ce terme un peu pompeux), c'est surtout une question de data. Et là, je rejoins totalement l'importance de la "gestiondesdonnéesclients" mentionnée dans les infos. Parce que sans data fiable, on navigue à vue. On peut avoir les meilleures idées du monde, si on les applique au mauvais segment de client, c'est un flop assuré.
On parle d'"orchestrationdeparcours", mais concrètement, ça veut dire quoi ? Ça veut dire analyser le comportement du client sur tous les points de contact (site web, app, réseaux sociaux, etc.), et utiliser ces infos pour lui proposer une expérience personnalisée et pertinente.
Par exemple, si un client a consulté plusieurs fois une fiche produit sur un site, on peut lui envoyer un email avec une offre spéciale sur ce produit. Ou si un client a laissé un article dans son panier pendant plusieurs jours, on peut lui proposer la livraison gratuite pour l'inciter à finaliser sa commande. Mais pour faire ça, faut des outils performants et surtout, faut savoir les utiliser. C'est pas juste une question de technologie, c'est une question de stratégie et d'expertise. Et là, le "serviceclientimpeccable" prend tout son sens. Parce que si le client a une question ou un problème, faut pouvoir lui répondre rapidement et efficacement. Sinon, c'est mort, il ira voir ailleurs. Et le "tauxderétention" va en prendre un coup.
Pour moi, la clé, c'est de privilégier une approche globale et personnalisée, basée sur la donnée et un service client de qualité. C'est pas la solution la plus facile, mais c'est la plus efficace sur le long terme. Et faut surtout pas négliger la "réactivationdesclientsinactifs", parce que c'est souvent moins cher que d'en acquérir de nouveaux.
Entièrement d'accord avec l'approche globale et personnalisée. C'est la clé pour une fidélisation durable. 👍 Faut voir ça comme un investissement, pas une dépense. Et bien sûr, ne pas oublier les clients inactifs ! 😉
Clairement, Camille57 a raison, c'est un investissement. Par contre, investir dans un CRM hors de prix pour faire des envois de mails en masse, c'est peut-être pas la meilleure strat... Enfin, à moins d'avoir un produit qui se vend tout seul, comme des billets pour un match du Real Madrid... bref, je m'égare ! Pour revenir au sujet, les clients inactifs, c'est une mine d'or si on sait comment les réactiver.
El Cid a mis le doigt sur un truc. C'est facile de se laisser embobiner par les sirènes des solutions CRM hyper sophistiquées qui promettent la lune, mais si c'est pour se contenter de bombarder les gens de mails génériques, autant balancer son budget par la fenêtre.
La réactivation des clients inactifs, c'est là où il y a vraiment moyen de faire des coups. Parce qu'on parle de gens qui ont déjà franchi le pas une fois, qui connaissent déjà la marque. Le boulot, c'est de comprendre pourquoi ils sont partis et de leur donner une raison de revenir. Pas juste une promo bidon, hein, faut creuser plus profond.
Par exemple, si on reprend l'idée de l'orchestration de parcours mentionnée plus haut, on peut analyser le comportement des clients inactifs avant leur départ. Est-ce qu'ils ont arrêté d'acheter après une mauvaise expérience avec le service client ? Est-ce qu'ils ont migré vers un concurrent qui propose un produit similaire mais avec une meilleure expérience utilisateur ? Est-ce qu'ils ont simplement oublié qu'on existait ?
En fonction de la réponse, on peut adapter notre stratégie de réactivation. Si c'est un problème de service client, on peut leur proposer une offre exclusive avec un accompagnement personnalisé. Si c'est un problème d'expérience utilisateur, on peut leur présenter les dernières améliorations apportées à notre produit ou service. Et si c'est juste un problème d'oubli, on peut leur envoyer un email de rappel avec une offre spéciale pour les inciter à revenir.
Selon une étude que j'avais vue passer, le coût d'acquisition d'un nouveau client est environ 5 à 7 fois plus élevé que le coût de fidélisation d'un client existant. Donc, même si ça demande un peu d'huile de coude, ça vaut vraiment le coup de se pencher sur la réactivation des clients inactifs. Et je pense qu'il faut envisager des offres de services personnalisés, car avec un taux d'honesty de 85% je ne vois pas un client accepter un service impersonnel qui ne prend pas en compte ses besoins, de plus les clients sentiraient plus en confiance.
Après, pour mesurer l'efficacité des actions, faut pas se contenter de regarder le taux de réactivation. Faut aussi regarder le "CustomerLifetimeValue" de ces clients réactivés. Est-ce qu'ils achètent plus souvent ? Est-ce qu'ils dépensent plus ? Est-ce qu'ils recommandent la marque à leurs proches ? C'est ça qui compte vraiment au final.
CodeBreaker721, t'as raison, les CRM c'est comme les clubs de foot : certains sont des gouffres financiers sans âme. L'important, c'est le coach (l'équipe marketing) et la tactique (la strat de réactivation).
Ok, si on récapitule vite fait, on a parlé personnalisation (messages, vidéos), de l'importance de pas faire cheap, de la data comme base, et de bien connaître son client... sans oublier les clients inactifs qui peuvent être une vraie mine d'or. 🔢 On a aussi souligné que les CRM sur-vitaminés, c'est pas toujours la panacée. 💡
Complètement d'accord avec ce récapitulatif ! Et je pense qu'il y a un point qui mérite d'être souligné, c'est l'aspect "mined'or" des clients inactifs.
Si on regarde les chiffres, c'est assez parlant. On sait que le coût d'acquisition d'un nouveau client est bien plus élevé que le coût de réactivation d'un ancien. Certaines études avancent un ratio de 5 à 7 fois plus cher, comme le disait CodeBreaker721. Mais ce n'est pas tout. Un client inactif qui revient a un potentiel de "CustomerLifetimeValue" souvent supérieur à celui d'un nouveau client. Pourquoi ? Parce qu'il connaît déjà la marque, il a déjà une expérience (même si elle a conduit à son départ), et il est donc plus facile de le fidéliser sur le long terme.
En tant que cheffe de produit, je vois souvent des équipes marketing se focaliser uniquement sur l'acquisition, en oubliant ce gisement de valeur. C'est un peu comme chercher de l'or à l'autre bout du monde alors qu'on a une pépite juste sous nos pieds. L'idée de l'offre de service personnalisée est vraiment pertinente, si le client a l'impression que le service ne prend pas en compte ses besoins, ce dernier pourrait perdre confiance et ne plus revenir. En tant que femme, je suis plus sensible aux offres personnalisées.
Pour réactiver ces clients, il faut donc mettre en place une stratégie spécifique, basée sur la data et la personnalisation. Il faut segmenter les clients inactifs en fonction de leur comportement passé, de leurs motivations de départ, et de leurs besoins actuels. Et ensuite, il faut leur proposer une offre adaptée, qui réponde à leurs attentes.
Par exemple, si un client a arrêté d'acheter parce qu'il trouvait les prix trop élevés, on peut lui proposer une réduction spéciale sur ses prochains achats. Si un client a été déçu par le service client, on peut lui offrir un accompagnement personnalisé avec un conseiller dédié. Et si un client a simplement oublié la marque, on peut lui envoyer un email de rappel avec une offre exclusive pour son anniversaire. Là on est sur du cas par cas, mais l'automatisation reste possible avec une bonne segmentation en amont.
L'important, c'est de montrer au client qu'on se soucie de lui, qu'on a compris pourquoi il est parti, et qu'on est prêt à faire un effort pour le faire revenir. Et ça, ça passe par la personnalisation et l'attention portée au détail.
ThreadRider2, ton argumentaire sur le "CustomerLifetimeValue" des clients réactivés, c'est du pain béni pour nous, les marketeux. 🤑
C'est tellement plus sexy de présenter ça comme ça aux directions financières. Plutôt que de leur dire "onvaspammerdesanciensclients", on leur dit "onvaréactiverungisementdevaleur"... et là, bizarrement, ils sont plus écoute. 😉
Exactement ! Faut parler leur langage. 😅 Et surtout, prouver avec des chiffres que ça rapporte plus que ça ne coûte. 😉
le 23 Mars 2025
Je reviens sur le coup des clients inactifs, parce que j'ai testé une approche qui a pas mal marché. Au lieu d'envoyer une simple promo, on a mis en place un "programmedeparrainageinversé". L'idée, c'est de proposer au client inactif de parrainer un nouvel arrivant, avec une récompense à la clé si le filleul fait un achat.
Ca permet de réengager le client, de lui donner un rôle valorisant, et en plus, ça ramène potentiellement un nouveau client. Double effet kiss cool.
Je trouve l'idée du parrainage inversé super intéressante, mais je me demande si ça ne risque pas de faire un peu trop 'on te prend pour un pigeon' si le client inactif a eu une mauvaise expérience ? Faut peut-être y aller mollo sur la récompense, histoire de pas donner l'impression de vouloir acheter son silence...
CyberAigle a soulevé un point important : le parrainage inversé, ça peut être perçu comme du forcing. Faut que le client ait pas gardé un mauvais souvenir de sa dernière expérience, sinon c'est contre-productif. Peut-être que cibler ceux qui sont partis sans raison apparente serait plus judicieux...
Commentaires (16)
Bien dit! Les offres personnalisées, c'est la base, clairement. 😉 Nous, on a vu un super impact en ajoutant un truc tout bête : un petit message manuscrit (enfin, imprimé mais qui y ressemble 😉) dans chaque commande pour les clients fidèles. Ça crée une connexion émotionnelle hyper forte, et ça coûte pas une blinde. Les retours sont excellents ! 👍
Carrément, la personnalisation à fond ! Nous, on a testé un truc similaire mais en vidéo. Un petit message vidéo personnalisé envoyé par email pour l'anniversaire du client, ou après un certain nombre de commandes. Ça demande un peu plus de boulot au départ pour la mise en place, mais l'effet "waouh" est garanti ! Les gens partagent ça sur leurs réseaux, et du coup, ça fait de la pub en plus.
La vidéo, c'est top, mais faut pas que ça fasse cheap sinon c'est contre-productif. Bien vu l'idée de l'anniversaire.
Merci pour vos partages d'expériences ! 👍 Ça donne des pistes bien concrètes à explorer. Je vais cogiter à tout ça. 🤓
L'idée de CyberAigle est pertinente : la vidéo, c'est un pari risqué. Si c'est mal fait, ça peut flinguer l'image de marque plus vite qu'un bad buzz sur Twitter. Faut vraiment soigner la production, le message, tout. Et là, on touche un point essentiel : la personnalisation, c'est pas juste mettre le nom du client en gros sur un email. C'est comprendre ses besoins, ses attentes, son parcours. Si on creuse un peu, le "marketingdefidélisation" (si on veut employer ce terme un peu pompeux), c'est surtout une question de data. Et là, je rejoins totalement l'importance de la "gestiondesdonnéesclients" mentionnée dans les infos. Parce que sans data fiable, on navigue à vue. On peut avoir les meilleures idées du monde, si on les applique au mauvais segment de client, c'est un flop assuré. On parle d'"orchestrationdeparcours", mais concrètement, ça veut dire quoi ? Ça veut dire analyser le comportement du client sur tous les points de contact (site web, app, réseaux sociaux, etc.), et utiliser ces infos pour lui proposer une expérience personnalisée et pertinente. Par exemple, si un client a consulté plusieurs fois une fiche produit sur un site, on peut lui envoyer un email avec une offre spéciale sur ce produit. Ou si un client a laissé un article dans son panier pendant plusieurs jours, on peut lui proposer la livraison gratuite pour l'inciter à finaliser sa commande. Mais pour faire ça, faut des outils performants et surtout, faut savoir les utiliser. C'est pas juste une question de technologie, c'est une question de stratégie et d'expertise. Et là, le "serviceclientimpeccable" prend tout son sens. Parce que si le client a une question ou un problème, faut pouvoir lui répondre rapidement et efficacement. Sinon, c'est mort, il ira voir ailleurs. Et le "tauxderétention" va en prendre un coup. Pour moi, la clé, c'est de privilégier une approche globale et personnalisée, basée sur la donnée et un service client de qualité. C'est pas la solution la plus facile, mais c'est la plus efficace sur le long terme. Et faut surtout pas négliger la "réactivationdesclientsinactifs", parce que c'est souvent moins cher que d'en acquérir de nouveaux.
Entièrement d'accord avec l'approche globale et personnalisée. C'est la clé pour une fidélisation durable. 👍 Faut voir ça comme un investissement, pas une dépense. Et bien sûr, ne pas oublier les clients inactifs ! 😉
Clairement, Camille57 a raison, c'est un investissement. Par contre, investir dans un CRM hors de prix pour faire des envois de mails en masse, c'est peut-être pas la meilleure strat... Enfin, à moins d'avoir un produit qui se vend tout seul, comme des billets pour un match du Real Madrid... bref, je m'égare ! Pour revenir au sujet, les clients inactifs, c'est une mine d'or si on sait comment les réactiver.
El Cid a mis le doigt sur un truc. C'est facile de se laisser embobiner par les sirènes des solutions CRM hyper sophistiquées qui promettent la lune, mais si c'est pour se contenter de bombarder les gens de mails génériques, autant balancer son budget par la fenêtre. La réactivation des clients inactifs, c'est là où il y a vraiment moyen de faire des coups. Parce qu'on parle de gens qui ont déjà franchi le pas une fois, qui connaissent déjà la marque. Le boulot, c'est de comprendre pourquoi ils sont partis et de leur donner une raison de revenir. Pas juste une promo bidon, hein, faut creuser plus profond. Par exemple, si on reprend l'idée de l'orchestration de parcours mentionnée plus haut, on peut analyser le comportement des clients inactifs avant leur départ. Est-ce qu'ils ont arrêté d'acheter après une mauvaise expérience avec le service client ? Est-ce qu'ils ont migré vers un concurrent qui propose un produit similaire mais avec une meilleure expérience utilisateur ? Est-ce qu'ils ont simplement oublié qu'on existait ? En fonction de la réponse, on peut adapter notre stratégie de réactivation. Si c'est un problème de service client, on peut leur proposer une offre exclusive avec un accompagnement personnalisé. Si c'est un problème d'expérience utilisateur, on peut leur présenter les dernières améliorations apportées à notre produit ou service. Et si c'est juste un problème d'oubli, on peut leur envoyer un email de rappel avec une offre spéciale pour les inciter à revenir. Selon une étude que j'avais vue passer, le coût d'acquisition d'un nouveau client est environ 5 à 7 fois plus élevé que le coût de fidélisation d'un client existant. Donc, même si ça demande un peu d'huile de coude, ça vaut vraiment le coup de se pencher sur la réactivation des clients inactifs. Et je pense qu'il faut envisager des offres de services personnalisés, car avec un taux d'honesty de 85% je ne vois pas un client accepter un service impersonnel qui ne prend pas en compte ses besoins, de plus les clients sentiraient plus en confiance. Après, pour mesurer l'efficacité des actions, faut pas se contenter de regarder le taux de réactivation. Faut aussi regarder le "CustomerLifetimeValue" de ces clients réactivés. Est-ce qu'ils achètent plus souvent ? Est-ce qu'ils dépensent plus ? Est-ce qu'ils recommandent la marque à leurs proches ? C'est ça qui compte vraiment au final.
CodeBreaker721, t'as raison, les CRM c'est comme les clubs de foot : certains sont des gouffres financiers sans âme. L'important, c'est le coach (l'équipe marketing) et la tactique (la strat de réactivation).
Ok, si on récapitule vite fait, on a parlé personnalisation (messages, vidéos), de l'importance de pas faire cheap, de la data comme base, et de bien connaître son client... sans oublier les clients inactifs qui peuvent être une vraie mine d'or. 🔢 On a aussi souligné que les CRM sur-vitaminés, c'est pas toujours la panacée. 💡
Complètement d'accord avec ce récapitulatif ! Et je pense qu'il y a un point qui mérite d'être souligné, c'est l'aspect "mined'or" des clients inactifs. Si on regarde les chiffres, c'est assez parlant. On sait que le coût d'acquisition d'un nouveau client est bien plus élevé que le coût de réactivation d'un ancien. Certaines études avancent un ratio de 5 à 7 fois plus cher, comme le disait CodeBreaker721. Mais ce n'est pas tout. Un client inactif qui revient a un potentiel de "CustomerLifetimeValue" souvent supérieur à celui d'un nouveau client. Pourquoi ? Parce qu'il connaît déjà la marque, il a déjà une expérience (même si elle a conduit à son départ), et il est donc plus facile de le fidéliser sur le long terme. En tant que cheffe de produit, je vois souvent des équipes marketing se focaliser uniquement sur l'acquisition, en oubliant ce gisement de valeur. C'est un peu comme chercher de l'or à l'autre bout du monde alors qu'on a une pépite juste sous nos pieds. L'idée de l'offre de service personnalisée est vraiment pertinente, si le client a l'impression que le service ne prend pas en compte ses besoins, ce dernier pourrait perdre confiance et ne plus revenir. En tant que femme, je suis plus sensible aux offres personnalisées. Pour réactiver ces clients, il faut donc mettre en place une stratégie spécifique, basée sur la data et la personnalisation. Il faut segmenter les clients inactifs en fonction de leur comportement passé, de leurs motivations de départ, et de leurs besoins actuels. Et ensuite, il faut leur proposer une offre adaptée, qui réponde à leurs attentes. Par exemple, si un client a arrêté d'acheter parce qu'il trouvait les prix trop élevés, on peut lui proposer une réduction spéciale sur ses prochains achats. Si un client a été déçu par le service client, on peut lui offrir un accompagnement personnalisé avec un conseiller dédié. Et si un client a simplement oublié la marque, on peut lui envoyer un email de rappel avec une offre exclusive pour son anniversaire. Là on est sur du cas par cas, mais l'automatisation reste possible avec une bonne segmentation en amont. L'important, c'est de montrer au client qu'on se soucie de lui, qu'on a compris pourquoi il est parti, et qu'on est prêt à faire un effort pour le faire revenir. Et ça, ça passe par la personnalisation et l'attention portée au détail.
ThreadRider2, ton argumentaire sur le "CustomerLifetimeValue" des clients réactivés, c'est du pain béni pour nous, les marketeux. 🤑 C'est tellement plus sexy de présenter ça comme ça aux directions financières. Plutôt que de leur dire "onvaspammerdesanciensclients", on leur dit "onvaréactiverungisementdevaleur"... et là, bizarrement, ils sont plus écoute. 😉
Exactement ! Faut parler leur langage. 😅 Et surtout, prouver avec des chiffres que ça rapporte plus que ça ne coûte. 😉
Je reviens sur le coup des clients inactifs, parce que j'ai testé une approche qui a pas mal marché. Au lieu d'envoyer une simple promo, on a mis en place un "programmedeparrainageinversé". L'idée, c'est de proposer au client inactif de parrainer un nouvel arrivant, avec une récompense à la clé si le filleul fait un achat. Ca permet de réengager le client, de lui donner un rôle valorisant, et en plus, ça ramène potentiellement un nouveau client. Double effet kiss cool.
Je trouve l'idée du parrainage inversé super intéressante, mais je me demande si ça ne risque pas de faire un peu trop 'on te prend pour un pigeon' si le client inactif a eu une mauvaise expérience ? Faut peut-être y aller mollo sur la récompense, histoire de pas donner l'impression de vouloir acheter son silence...
CyberAigle a soulevé un point important : le parrainage inversé, ça peut être perçu comme du forcing. Faut que le client ait pas gardé un mauvais souvenir de sa dernière expérience, sinon c'est contre-productif. Peut-être que cibler ceux qui sont partis sans raison apparente serait plus judicieux...