Quand tu parles de 'renouvellement', tu penses à quoi exactement ? C'est plus un changement de poste en interne, une reconversion complète, ou l'arrivée de personnes avec des parcours atypiques dans une équipe ? J'aimerais bien cerner le contexte pour pouvoir donner des exemples pertinents.
En fait, je pensais surtout à des parcours... disons, non linéaires. Des gens qui ont bifurqué, que ce soit une reconversion radicale ou juste une expérience significative dans un autre domaine avant de se lancer dans le marketing. L'idée, c'est de voir comment cette 'double compétence' ou ce regard neuf peut influencer la façon dont on aborde le marketing, les stratégies qu'on met en place. Ça peut être un ancien commercial devenu marketeur, un artiste qui se lance dans la pub, n'importe quoi qui sorte un peu des sentiers battus, quoi.
Je suis pas certain que l'effet "double compétence" soit si systématique. On a souvent tendance à idéaliser les parcours atypiques, mais parfois, un profil plus classique, avec une bonne formation et une expérience solide dans le marketing, c'est aussi ce qui fait la diff.
Je comprends bien ce que tu veux dire, Tyson. C'est vrai qu'idéaliser systématiquement les parcours atypiques serait une erreur. L'expertise et la formation en marketing restent primordiales. Mais je pense que l'intérêt des parcours non linéaires réside peut-être moins dans une "double compétence" figée que dans une capacité d'adaptation et une ouverture d'esprit accrues. Quelqu'un qui a déjà changé de voie, qui a appris à apprendre dans des contextes différents, sera peut-être plus à même de remettre en question les pratiques établies et d'intégrer de nouvelles approches.
Par exemple, j'ai bossé avec une ancienne infirmière qui s'est reconvertie dans le marketing digital. Son expérience dans le secteur de la santé lui donnait une compréhension fine des besoins des patients, qu'elle a su traduire en stratégies de contenu et en campagnes de communication beaucoup plus empathiques et centrées sur l'humain. Elle avait une approche très axée sur la relation et la confiance, qui changeait radicalement des discours parfois trop techniques ou promotionnels qu'on pouvait entendre. C'est un peu comme le lien https://nouvel-elan-pro.fr/ entre le marketing et la réalité du terrain : comprendre les besoins réels des consommateurs, c'est la clé.
Mais après, c'est sûr que ça dépend des individus. Certains profils atypiques peuvent aussi avoir du mal à s'intégrer dans une équipe ou à adopter les méthodes de travail du marketing. Il faut trouver le bon équilibre entre l'expertise technique et la capacité à innover et à s'adapter. On voit aussi des spécialistes avec des connaissances pointues devenir consultants après des burn out, et c'est un autre type de "renouveau" qu'il faut prendre en compte.
L'exemple de l'infirmière, c'est parlant. Ça illustre bien comment une expérience *a priori* éloignée du marketing peut en fait apporter une vraie valeur ajoutée, surtout sur l'aspect compréhension des besoins et empathie. Et puis, ton lien vers nouvel-elan-pro.fr, ça résume bien l'idée : le marketing qui marche, c'est celui qui part du réel, pas des théories fumeuses.
Après, évidemment, faut pas non plus tomber dans l'angélisme et penser que tous les reconvertis sont des génies. Mais c'est clair que ça peut être une source d'innovation intéressante.
Je ne suis pas sûre d'être entièrement d'accord avec l'idée que le marketing "qui marche" est uniquement celui qui part du "réel". Je pense qu'il y a aussi une place pour la créativité, l'innovation et même une certaine forme d'audace qui peuvent parfois s'éloigner de la simple observation des besoins existants. Parfois, il faut oser proposer quelque chose de nouveau pour créer le besoin, non ?
Camille57, quand tu parles d'oser proposer quelque chose de nouveau pour créer le besoin, tu as des exemples en tête ? Je suis curieuse de voir comment tu imagines concrètement cette démarche dans le contexte actuel.
Excellente question, SearchFlow96. En fait, quand je parle de "créer le besoin", je pense par exemple à des entreprises comme Apple, qui ont réussi à imposer des produits dont on ne soupçonnait pas l'utilité au départ (l'iPad, par exemple, ou les AirPods). Au début, beaucoup de gens se demandaient à quoi ça servait, et puis c'est devenu des incontournables. Ils n'ont pas juste répondu à un besoin existant, ils ont créé un nouveau mode de consommation. C'est un peu la différence entre "répondre à la demande" et "stimuler le désir". C'est plus risqué, bien sûr, mais ça peut être très payant si c'est bien fait.
Si on parle de strat pour challenger des approches marketing classiques, je pense que l'A/B testing reste un outil solide. Par exemple, tu peux tester une landing page classique vs une autre qui intègre le storytelling d'un parcours atypique (un client qui a radicalement changé de vie et dont ton produit a été un game changer). Tu mesures l'engagement et les conversions, et tu vois ce qui résonne le mieux avec ta cible. C'est du concret et ça permet d'éviter de se baser uniquement sur des intuitions.
Commentaires (11)
Quand tu parles de 'renouvellement', tu penses à quoi exactement ? C'est plus un changement de poste en interne, une reconversion complète, ou l'arrivée de personnes avec des parcours atypiques dans une équipe ? J'aimerais bien cerner le contexte pour pouvoir donner des exemples pertinents.
En fait, je pensais surtout à des parcours... disons, non linéaires. Des gens qui ont bifurqué, que ce soit une reconversion radicale ou juste une expérience significative dans un autre domaine avant de se lancer dans le marketing. L'idée, c'est de voir comment cette 'double compétence' ou ce regard neuf peut influencer la façon dont on aborde le marketing, les stratégies qu'on met en place. Ça peut être un ancien commercial devenu marketeur, un artiste qui se lance dans la pub, n'importe quoi qui sorte un peu des sentiers battus, quoi.
Je suis pas certain que l'effet "double compétence" soit si systématique. On a souvent tendance à idéaliser les parcours atypiques, mais parfois, un profil plus classique, avec une bonne formation et une expérience solide dans le marketing, c'est aussi ce qui fait la diff.
Je comprends bien ce que tu veux dire, Tyson. C'est vrai qu'idéaliser systématiquement les parcours atypiques serait une erreur. L'expertise et la formation en marketing restent primordiales. Mais je pense que l'intérêt des parcours non linéaires réside peut-être moins dans une "double compétence" figée que dans une capacité d'adaptation et une ouverture d'esprit accrues. Quelqu'un qui a déjà changé de voie, qui a appris à apprendre dans des contextes différents, sera peut-être plus à même de remettre en question les pratiques établies et d'intégrer de nouvelles approches. Par exemple, j'ai bossé avec une ancienne infirmière qui s'est reconvertie dans le marketing digital. Son expérience dans le secteur de la santé lui donnait une compréhension fine des besoins des patients, qu'elle a su traduire en stratégies de contenu et en campagnes de communication beaucoup plus empathiques et centrées sur l'humain. Elle avait une approche très axée sur la relation et la confiance, qui changeait radicalement des discours parfois trop techniques ou promotionnels qu'on pouvait entendre. C'est un peu comme le lien https://nouvel-elan-pro.fr/ entre le marketing et la réalité du terrain : comprendre les besoins réels des consommateurs, c'est la clé. Mais après, c'est sûr que ça dépend des individus. Certains profils atypiques peuvent aussi avoir du mal à s'intégrer dans une équipe ou à adopter les méthodes de travail du marketing. Il faut trouver le bon équilibre entre l'expertise technique et la capacité à innover et à s'adapter. On voit aussi des spécialistes avec des connaissances pointues devenir consultants après des burn out, et c'est un autre type de "renouveau" qu'il faut prendre en compte.
L'exemple de l'infirmière, c'est parlant. Ça illustre bien comment une expérience *a priori* éloignée du marketing peut en fait apporter une vraie valeur ajoutée, surtout sur l'aspect compréhension des besoins et empathie. Et puis, ton lien vers nouvel-elan-pro.fr, ça résume bien l'idée : le marketing qui marche, c'est celui qui part du réel, pas des théories fumeuses. Après, évidemment, faut pas non plus tomber dans l'angélisme et penser que tous les reconvertis sont des génies. Mais c'est clair que ça peut être une source d'innovation intéressante.
Merci pour cet exemple concret et le lien, c'est exactement le genre de retour d'expérience que je cherchais ! Ça me donne des pistes de réflexion.
Je ne suis pas sûre d'être entièrement d'accord avec l'idée que le marketing "qui marche" est uniquement celui qui part du "réel". Je pense qu'il y a aussi une place pour la créativité, l'innovation et même une certaine forme d'audace qui peuvent parfois s'éloigner de la simple observation des besoins existants. Parfois, il faut oser proposer quelque chose de nouveau pour créer le besoin, non ?
Tout à fait.
Camille57, quand tu parles d'oser proposer quelque chose de nouveau pour créer le besoin, tu as des exemples en tête ? Je suis curieuse de voir comment tu imagines concrètement cette démarche dans le contexte actuel.
Excellente question, SearchFlow96. En fait, quand je parle de "créer le besoin", je pense par exemple à des entreprises comme Apple, qui ont réussi à imposer des produits dont on ne soupçonnait pas l'utilité au départ (l'iPad, par exemple, ou les AirPods). Au début, beaucoup de gens se demandaient à quoi ça servait, et puis c'est devenu des incontournables. Ils n'ont pas juste répondu à un besoin existant, ils ont créé un nouveau mode de consommation. C'est un peu la différence entre "répondre à la demande" et "stimuler le désir". C'est plus risqué, bien sûr, mais ça peut être très payant si c'est bien fait.
Si on parle de strat pour challenger des approches marketing classiques, je pense que l'A/B testing reste un outil solide. Par exemple, tu peux tester une landing page classique vs une autre qui intègre le storytelling d'un parcours atypique (un client qui a radicalement changé de vie et dont ton produit a été un game changer). Tu mesures l'engagement et les conversions, et tu vois ce qui résonne le mieux avec ta cible. C'est du concret et ça permet d'éviter de se baser uniquement sur des intuitions.