Avez-vous déjà réussi à partager un appartement dans des régions à prix élevé comme le New Jersey ou New York et à en tirer un bénéfice après votre départ ?
L'idée de la sous-location pendant les vacances, c'est pas mal du tout. Faut juste bien blinder le contrat pour éviter les mauvaises surprises avec les sous-locataires... Genre, exiger un dépôt de garantie, vérifier les références, etc. Sinon, tu risques de te retrouver avec des dégâts et des embrouilles à ton retour.
Quand tu dis "bénéfice", tu parles de quel ordre de grandeur ? C'est pour compléter un salaire, ou juste histoire d'équilibrer un peu plus le budget ? Et tu vises quel type de bien en fait ? Un truc modeste ou plus standing ?
Parce que l'un dans l'autre, ça change pas mal la donne pour trouver des "combines" viables sur la durée.
Quand je dis "bénéfice", c'est plus dans l'optique d'alléger considérablement le coût du logement, voire de le rendre presque nul pendant certaines périodes. Pas forcément pour gagner de l'argent à proprement parler, mais disons que si je pouvais mettre de côté l'équivalent d'un loyer entier chaque année grâce à des astuces, ce serait top. Et pour le type de bien, je ne suis pas difficile, un truc modeste me suffirait amplement, tant que c'est bien situé et que les colocs sont sympas !
Un loyer entier mis de coté par an, carrément ! C'est ambitieux mais pas impossible, surtout si tu vises un truc modeste. Faudra être super organisée pour les sous-locations et ne pas avoir peur de mettre les pieds dans le plat si les colocs font des bêtises. Mais si t'es bien située, ça peut se louer facile pendant les périodes touristiques.
L'idée de mettre un loyer de côté chaque année, c'est un objectif qui demande une approche méthodique, Ayla Yilmaz, en tant que pharmacienne, je pense que tu dois comprendre qu'il faut une méthode rigoureuse. Puisque tu n'es pas difficile sur le type de bien, c'est déjà un bon point. Concentrons-nous sur la localisation, c'est clairement l'élément clé pour maximiser les opportunités de sous-location.
New York, c'est un aimant à touristes, mais toutes les zones ne se valent pas. Il faut scruter les événements, les périodes de forte affluence... Par exemple, si tu te positionnes près d'un lieu qui accueille régulièrement des conventions ou des événements sportifs, tu as une clientèle potentielle toute trouvée.
Ensuite, il faut calculer au plus juste. Imaginons un loyer mensuel de 2500€ pour un appart correct dans une zone stratégique. Ton objectif, c'est donc de récupérer 30 000€ sur l'année via la sous-location. Si tu arrives à louer ta chambre 150€ la nuit pendant, disons, 200 jours dans l'année (week-ends, vacances, événements spéciaux...), tu atteins ton but (150€ x 200 = 30 000€). Ça demande de l'organisation, de la réactivité, et une communication au top avec tes colocs pour éviter les frictions. Et bien sûr, une annonce attractive avec de belles photos et une description précise des atouts du quartier.
Pour les colocs, justement, je pense qu'il faut être hyper sélectif. Des profils fiables, respectueux et conscients des enjeux. Quitte à mettre un peu plus de temps à trouver les bonnes personnes. Un bon feeling, c'est la base pour une colocation réussie et durable. Un peu comme une bonne formule pharmaceutique, tous les ingrédients doivent être compatibles !
Merci FlammeMetal pour cette analyse détaillée ! C'est super clair et ça me donne une bonne base pour commencer mes recherches. Je vais potasser les annonces et voir ce qui se fait niveau événements dans le coin. Et oui, trouver les bons colocs, c'est primordial, t'as raison.
le 17 Mai 2025
Top ton plan FlammeMetal 👍.
Mais du coup BillardQueen, tu penses t'y prendre comment concrètement pour gérer les sous-locations ? Genre tu vas passer par des plateformes type Airbnb ou tu as d'autres idées en tête 🤔? Parce que ça peut vite devenir un boulot à temps plein si tu dois gérer les annonces, les réservations, les états des lieux, etc. Faut voir si le "bénéfice" vaut le coup par rapport au temps investi 😅.
Pour les sous-locations, je pensais effectivement passer par des plateformes comme Airbnb au début, histoire de me faire la main et de voir comment ça se gère. Mais l'idée serait, à terme, de me constituer un petit réseau de contacts directement, pour éviter les frais de plateforme et avoir plus de contrôle sur les locataires. Un peu de bouche-à-oreille, quoi. Après, c'est sûr qu'il faudra que je trouve un juste milieu entre le temps investi et le "bénéfice" réel, mais je suis plutôt du genre organisée, donc je pense pouvoir gérer ça sans trop de problèmes. Et puis, si ça devient trop galère, je pourrai toujours revoir mes ambitions à la baisse !
Miroslav ici. L'idée du bouche-à-oreille, c'est séduisant, mais attention à la dépendance que ça crée. Si ton réseau se tarit, tu te retrouves coincée. Diversifier les canaux, même après avoir un réseau solide, me semblerait une approche plus sûre.
CodeSpartacus a raison de soulever le point de la dépendance au réseau. Même si le bouche-à-oreille peut sembler idéal pour fidéliser une clientèle et éviter les frais des plateformes, il ne faut pas négliger la puissance de frappe d'Airbnb et consorts, surtout au démarrage.
BillardQueen, tu pourrais envisager une stratégie hybride : utiliser les plateformes pour te faire connaître et constituer une base de données de clients potentiels, puis les inciter progressivement à réserver directement avec toi pour les séjours suivants, en leur offrant un petit rabais par exemple.
En parlant de chiffres, justement, il serait intéressant de calculer le coût réel des plateformes. Airbnb prend généralement une commission d'environ 3% aux hôtes, plus des frais de service variables pour les voyageurs. Sur une location à 150€ la nuit, ça représente environ 4,5€ de commission pour toi. Multiplié par 200 jours de location, ça fait 900€ par an. C'est une somme non négligeable, mais qui peut être compensée par la visibilité et la sécurité qu'offrent ces plateformes.
Autre point à considérer : l'assurance. Les plateformes proposent souvent des assurances pour couvrir les dommages causés par les voyageurs. C'est un aspect important à prendre en compte, surtout si tu partages l'appartement avec des colocataires. Mieux vaut prévenir que guérir, comme on dit.
Et puis, n'oublie pas l'aspect légal. Certaines villes ont des réglementations très strictes concernant les locations de courte durée. Il faut te renseigner auprès de la mairie de New York pour éviter les mauvaises surprises. Par exemple, il peut y avoir des limitations sur le nombre de jours par an où tu peux sous-louer ton logement, ou des taxes spécifiques à payer. Mieux vaut éviter de se retrouver dans une situation illégale, ça pourrait te coûter cher en amendes !
Commentaires (10)
L'idée de la sous-location pendant les vacances, c'est pas mal du tout. Faut juste bien blinder le contrat pour éviter les mauvaises surprises avec les sous-locataires... Genre, exiger un dépôt de garantie, vérifier les références, etc. Sinon, tu risques de te retrouver avec des dégâts et des embrouilles à ton retour.
Quand tu dis "bénéfice", tu parles de quel ordre de grandeur ? C'est pour compléter un salaire, ou juste histoire d'équilibrer un peu plus le budget ? Et tu vises quel type de bien en fait ? Un truc modeste ou plus standing ? Parce que l'un dans l'autre, ça change pas mal la donne pour trouver des "combines" viables sur la durée.
Quand je dis "bénéfice", c'est plus dans l'optique d'alléger considérablement le coût du logement, voire de le rendre presque nul pendant certaines périodes. Pas forcément pour gagner de l'argent à proprement parler, mais disons que si je pouvais mettre de côté l'équivalent d'un loyer entier chaque année grâce à des astuces, ce serait top. Et pour le type de bien, je ne suis pas difficile, un truc modeste me suffirait amplement, tant que c'est bien situé et que les colocs sont sympas !
Un loyer entier mis de coté par an, carrément ! C'est ambitieux mais pas impossible, surtout si tu vises un truc modeste. Faudra être super organisée pour les sous-locations et ne pas avoir peur de mettre les pieds dans le plat si les colocs font des bêtises. Mais si t'es bien située, ça peut se louer facile pendant les périodes touristiques.
L'idée de mettre un loyer de côté chaque année, c'est un objectif qui demande une approche méthodique, Ayla Yilmaz, en tant que pharmacienne, je pense que tu dois comprendre qu'il faut une méthode rigoureuse. Puisque tu n'es pas difficile sur le type de bien, c'est déjà un bon point. Concentrons-nous sur la localisation, c'est clairement l'élément clé pour maximiser les opportunités de sous-location. New York, c'est un aimant à touristes, mais toutes les zones ne se valent pas. Il faut scruter les événements, les périodes de forte affluence... Par exemple, si tu te positionnes près d'un lieu qui accueille régulièrement des conventions ou des événements sportifs, tu as une clientèle potentielle toute trouvée. Ensuite, il faut calculer au plus juste. Imaginons un loyer mensuel de 2500€ pour un appart correct dans une zone stratégique. Ton objectif, c'est donc de récupérer 30 000€ sur l'année via la sous-location. Si tu arrives à louer ta chambre 150€ la nuit pendant, disons, 200 jours dans l'année (week-ends, vacances, événements spéciaux...), tu atteins ton but (150€ x 200 = 30 000€). Ça demande de l'organisation, de la réactivité, et une communication au top avec tes colocs pour éviter les frictions. Et bien sûr, une annonce attractive avec de belles photos et une description précise des atouts du quartier. Pour les colocs, justement, je pense qu'il faut être hyper sélectif. Des profils fiables, respectueux et conscients des enjeux. Quitte à mettre un peu plus de temps à trouver les bonnes personnes. Un bon feeling, c'est la base pour une colocation réussie et durable. Un peu comme une bonne formule pharmaceutique, tous les ingrédients doivent être compatibles !
Merci FlammeMetal pour cette analyse détaillée ! C'est super clair et ça me donne une bonne base pour commencer mes recherches. Je vais potasser les annonces et voir ce qui se fait niveau événements dans le coin. Et oui, trouver les bons colocs, c'est primordial, t'as raison.
Top ton plan FlammeMetal 👍. Mais du coup BillardQueen, tu penses t'y prendre comment concrètement pour gérer les sous-locations ? Genre tu vas passer par des plateformes type Airbnb ou tu as d'autres idées en tête 🤔? Parce que ça peut vite devenir un boulot à temps plein si tu dois gérer les annonces, les réservations, les états des lieux, etc. Faut voir si le "bénéfice" vaut le coup par rapport au temps investi 😅.
Pour les sous-locations, je pensais effectivement passer par des plateformes comme Airbnb au début, histoire de me faire la main et de voir comment ça se gère. Mais l'idée serait, à terme, de me constituer un petit réseau de contacts directement, pour éviter les frais de plateforme et avoir plus de contrôle sur les locataires. Un peu de bouche-à-oreille, quoi. Après, c'est sûr qu'il faudra que je trouve un juste milieu entre le temps investi et le "bénéfice" réel, mais je suis plutôt du genre organisée, donc je pense pouvoir gérer ça sans trop de problèmes. Et puis, si ça devient trop galère, je pourrai toujours revoir mes ambitions à la baisse !
Miroslav ici. L'idée du bouche-à-oreille, c'est séduisant, mais attention à la dépendance que ça crée. Si ton réseau se tarit, tu te retrouves coincée. Diversifier les canaux, même après avoir un réseau solide, me semblerait une approche plus sûre.
CodeSpartacus a raison de soulever le point de la dépendance au réseau. Même si le bouche-à-oreille peut sembler idéal pour fidéliser une clientèle et éviter les frais des plateformes, il ne faut pas négliger la puissance de frappe d'Airbnb et consorts, surtout au démarrage. BillardQueen, tu pourrais envisager une stratégie hybride : utiliser les plateformes pour te faire connaître et constituer une base de données de clients potentiels, puis les inciter progressivement à réserver directement avec toi pour les séjours suivants, en leur offrant un petit rabais par exemple. En parlant de chiffres, justement, il serait intéressant de calculer le coût réel des plateformes. Airbnb prend généralement une commission d'environ 3% aux hôtes, plus des frais de service variables pour les voyageurs. Sur une location à 150€ la nuit, ça représente environ 4,5€ de commission pour toi. Multiplié par 200 jours de location, ça fait 900€ par an. C'est une somme non négligeable, mais qui peut être compensée par la visibilité et la sécurité qu'offrent ces plateformes. Autre point à considérer : l'assurance. Les plateformes proposent souvent des assurances pour couvrir les dommages causés par les voyageurs. C'est un aspect important à prendre en compte, surtout si tu partages l'appartement avec des colocataires. Mieux vaut prévenir que guérir, comme on dit. Et puis, n'oublie pas l'aspect légal. Certaines villes ont des réglementations très strictes concernant les locations de courte durée. Il faut te renseigner auprès de la mairie de New York pour éviter les mauvaises surprises. Par exemple, il peut y avoir des limitations sur le nombre de jours par an où tu peux sous-louer ton logement, ou des taxes spécifiques à payer. Mieux vaut éviter de se retrouver dans une situation illégale, ça pourrait te coûter cher en amendes !